"Big up to my french vanillas..."
Pour commencer l'année 2011, pour savoir "ou qu'on va et qui qu'on est dans ce monde", rien de mieux que de se rappeler de ce qui nous anime depuis le début.
Ce morceau en est le parfait exemple ici, sa première écoute à l'époque me faisait définitivement comprendre qu'il y avait quelque chose d'unique et d'indéfinissable avec cette musique...
Sorti en 1993, ce morceau de Raekwon avec ses potos du Wu Tang me rappelle à chaque fois pourquoi je suis amoureux de ça, et comme à chaque écoute, je me dis qu'il serait juste numero uno d'un futile et infaisable classement de mes morceaux préférés.
Le clip est limite superflu finalement, tant ce morceau possède un pouvoir incroyablement fascinant de laisser aller l'auditeur à sa propre imagination, pour peu que ce dernier se laisse faire.
L'art de créer une atmosphère, riche, intrusive, introspective, cinématographique, intimiste, solitaire.
A chacun d'y mettre les images qu'il veut finalement, a chacun son interprétation.
Et c'est cette richesse qui caractérise ce son, cette période, cette ville et surtout le Wu Tang avec la réalisation du mythique 36th Chambers la même année.
Ecoute solitaire, au casque du walkman K7 puis du Ipod, dans le poste de sa chambre puis sur les mkII de son salon, dans ses déambulations urbaines, dans ses insomnies et ses autres rêvasseries.
L'art de créer une atmosphère, riche, intrusive, introspective, cinématographique, intimiste, solitaire.
A chacun d'y mettre les images qu'il veut finalement, a chacun son interprétation.
Et c'est cette richesse qui caractérise ce son, cette période, cette ville et surtout le Wu Tang avec la réalisation du mythique 36th Chambers la même année.
Ecoute solitaire, au casque du walkman K7 puis du Ipod, dans le poste de sa chambre puis sur les mkII de son salon, dans ses déambulations urbaines, dans ses insomnies et ses autres rêvasseries.
L'incroyable classe de Method Man.
La prestance de Raekwon.
La pureté simple de la boucle, inlassable, hypnotique, juste belle, juste parfaite.
La texture tellement magique du son, crade, épuré, adéquation parfaite, New York, 1993.
Je ne m'en suis jamais remis...
Ceci étant fait, direction 2011, avec à venir très vite les chroniques en retard de décembre pour cause d'emploi du temps super vener.
Et bien sur, j'en profite juste bien pour souhaiter à tous une très bonne année 2011.
Peace.
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